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Filles Adolescentes Partie Nue



Selon les études sur les facteurs de risque et de protection liés à la grossesse chez les adolescentes dans les PRFI, les niveaux ont tendance à être plus élevés chez les personnes peu instruites ou en situation\r\n de précarité économique (7). Les progrès sont plus lents en ce qui concerne la réduction des premières naissances chez les adolescentes parmi ces groupes, ce qui creuse les inégalités.


Selon les études sur les facteurs de risque et de protection liés à la grossesse chez les adolescentes dans les PRFI, les niveaux ont tendance à être plus élevés chez les personnes peu instruites ou en situationde précarité économique (7). Les progrès sont plus lents en ce qui concerne la réduction des premières naissances chez les adolescentes parmi ces groupes, ce qui creuse les inégalités.




Filles Adolescentes Partie Nue




la pauvreté est la cause primordiale. Dans la majorité des pays d'Afrique, le nombre d'enfants dans le ménage ne permet pas à tous/es d'aller à l'école où plusieurs frais sont exigés. la gratuité de l'éducation (de tous les frais )est le seul remède malheureusement, les budgets des états /gouvernements ne sont pas à la hauteur de couvrir l'ensembles des frais afin d'exonérer les parents des frais scolaires qui constituent la barrière pour l'éducation des filles, déjà aggravé par le choix opéré sur le garçon vis à vis de paiement des frais. Détruisons, non surmontons d'abord la montagne de la pauvreté le reste ça viendra de soi même.


La scolarisation des filles aide aussi à former les mamans de demain, des mamans scolarisées vont pouvoir apporter une bonne éducation à leurs enfants sur tous les plans.A mon avis, dans les Pays en voie de développement la scolarisation des filles devrait être inscrit en tant que priorité des priorités. Aucun developpement ne peut etre realise sans la femme éduquée, avertie, formée et en phase des exigences de la société d'aujourd'hui qui se mondialise de plus en plus


Je suis d'accord avec les commentaires soumis par AFFANE, les questions qui se posent ce sont comment lever les goulots d'étranglement, les facteurs de blocage de l'éducation des femmes et des filles ? Les responsabilités des autorités gouvernementales, communautaires et religieuses sont à interpeller dans les pays développés et dans les pays en développement. Le blocage de l'éducation des filles est un crime contre l'humanité.


Une cause de déscolarisation des filles non moins importante à mon avis est le manque d'ambition des filles elles-memes, elles se contentent facilement du peu qu'elles peuvent gagner juste à la sortie du secondaire.ce qui n'est pas de nature a leur permettre d'être une référence proche pour les autres filles de la famille et de la communauté entière.


Bonsoir ,Selon les experiences que j ai vecu , les filles quittent l ecole par manque des moyens pour continuer leurs etudes , si sa famille est pauvre elles s inquietent vraiment à eux, apres l obtention de son diplome elle n arrive pas à trouver de boulot vue la situation du pays ( pour avoir du boulot il faut des relation forte sinon la personne va grever a la maison avec son diplôme)


-Egalite de chance entre garçon et fille- les grosesses precoses- manque de l'éducation sexuelle entre les filles et leurs mamans- engagement et la responsabilité parentaleLa prise en compte de tous ces élements permettrraient aux filles de jouit plainemment leur rôle.


Critères d'exclusion: Ont été exclus; tout élève du degré terminal au secondaire mais absent de la classe ou présent mais pas en bonne santé (présent mais malade par exemple). Tout élève du degré terminal au secondaire ayant Accepté de répondre à l'enquête après tirage mais l'ayant fait en partie. Tout éleve du dégré terminal au secondaire absent de l'école au moment de l'enquete. Tout éléve du degré terminal ayant refusé de repondre à l'enquete.


Caractéristiques socio- démographiques des jeunes sexuellement actifs: Le Tableau 2 renseigne 87 jeunes soit 84,0% avaient un âge inférieur à 20 ans, 54 jeunes soit 52% étaient de sexe féminin avec un sexe ratio 1,8 en faveur des jeunes filles, 69 jeunes soit 66,0% étaient dans une famille où les parents sont en couple, 59 jeunes soit 56,7% avaient un parent qui faisait une profession privée et 59 jeunes soit 56,7% provenaient de la commune de Likasi.


Caractéristiques liés à l'activité sexuelle: Le Tableau 2 rapporte que dans 82% des cas chez les jeunes garçons contre 63 % chez les jeunes filles le rapport était souhaité, comme pour les jeunes garçons que pour les jeunes filles le contexte était la jouissance personnelle soit 50% vs 31%, ce Tableau 3 rapporte l'âge de premier rapport sexuel chez les jeunes garçons qui était dans 46,3% entre 10 et 15ans; chez les jeunes filles dans 58% entre 16 et 20 ans. En rapport avec le type de rapport. De ce même tableau, le rapport a été consommé avec un seul parténaire dans 40% de cas pour les jeunes garçons comme pour les jeunes filles. De même dans 40% des cas, les jeunes filles l'ont consommé avec plusieurs parténaires. Dans le deux sexe, la contraception étaient une option de choix dans 76% de cas chez les garçons et 54% des cas chez les jeunes filles. Il se dégage du Tableau 4 que 48 jeunes soit 72% des jeunes ont utilsé le condom comme méthode contraceptive, la maison du partenaire était le lieu de rencotre chez 49 jeunes soit 47% et l'internet était le canal principal d'information chez 35 jeunes soit 33,8%.


Différentes études menées en Afrique et ailleurs témoignent que les normes sociales et culturelles imposées par la religion, la tradition et/ou la société ont d'importants effets sur la santé et le droit à la santé des jeunes [12]. Ainsi, La foi et la spiritualité servent de cadre éthique et influencent les croyances, les pratiques et les choix des jeunes par rapport à la famille, au mariage, à la procréation et à la sexualité. Dans notre série, 118 appartiennent au christianisme parmi lesquels 78 sont sexuellement actifs. Ceci qui contraste avec les enseignements du christianisme qui prônent la continence et la chasteté. 75% d'enquentés de l'eglise de noir sont sexuellement actifs. La religion semble ne plus influencée les comportements des jeunes sur la sexualité dans notre milieu. Kalambay et al. (2006) trouvent que 70% des jeunes sexuellement actifs appartiennent aux églises traditionnelles (Catholique, protestante et Kimbanguiste), alors qu'on pouvait s'attendre à une grande pratique de la continence et de la chasteté car ces derniers dominent souvent les enseignements dans ces églises [11]. Dans 60% des cas, nos enquetés ont l'âge compris entre 18-20 ans, l'âge moyen est de 18 ans, avec comme âge extrême 15 ans et 22 ans. L'âge Moyen au premier rapport sexuel chez le garçon est de 16,7 ans avec comme extrême 10 et 22 ans, tandis que chez la fille, l'âge moyen au 1er rapport sexuel est de 17,2 ans avec comme extrême 10 et 23 ans. En Afrique subsaharienne, l'âge médian de la sexualité varie de 15 ans (Niger); 17,8 ans (Zimbabwe); 17,4 ans (Kenya); 18,8 ans (Sénégal) chez les femmes Selon le rapport de ONU/SIDA de 2010 [12]. En outre, la portion d'enquêtées qui ont reconnu avoir eu le premier rapport sexuel entre 10 et 15 ans, (40 Jeunes, soit 38%), est faible par rapport à l'étude de Goma (78%) pour la tranche d'âge de 10 à 14 ans, et celle de Lodja (49%). Cette proportion bien que faible par rapport à l' études de Ngongo et al. [10] montre une tendance vers la precocité sexuelle dans son milieu. Par ailleurs, plus la sexualité est précoce, plus le danger de connaitre les partenaires multiples s'accroit et expose ainsi les jeunes aux VIH, surtout que ce dernier s'est juvenilisé. Il s'agit le plus souvent d'un rapport souhaité, consenti 82% chez les garcons et 63% chez les jeunes filles, ces resultats corroborent avec les resultats de Kalambay et al. (2006) ou près de 87,5% des jeunes filles comme des garçons ont eu volontairement (après consentement) leur premier rapport sexuel. Pour certains jeunes 15% de cas de viol déclarés dans l'ensemble (absence du consentement du partenaire), cependant le cas des rapports sous l'effet de l'alcool et autres substances additives pouvait être assimilé au viol, mais relativisé du fait qu'il y a une difficulté de mettre en évidence l'état où le partenaire était dans l'impossibilité de donner un consentement [11]. Comme dans la serie de Kalambayi et al. (2006), les motifs du rapport sexuel sont principalement sentimentaux et non commerciaux, contrairement aux autres études sur la sexualité [9, 10] qui evoquent le monnayage de l'acte sexuel. Les filles s'adonnent à la sexualité contre une gratification financière ou des cadeaux qui leur permettent de satisfaire leurs besoins matériels et financiers. L'activité sexuelle devenant ainsi un moyen de survie et de se mettre à l'abri des besoins.


Au début du XXe siècle, G. Stanley Hall définit l'adolescence comme la période de développement allant de 14 à 24 ans dans son traité sur l'adolescence[8]. Une cinquantaine d'années après, l'organisation mondiale de la santé définit l'adolescence comme la tranche d'âge des 10 à 19 ans inclus[9],[10]. La Convention des droits de l'enfant des Nations Unies définit l'enfance comme la période allant de la naissance à 18 ans et l'adolescence comme la période allant de 10 à 19 ans[7]. En parallèle, les Nations unies parlent aussi de la catégorie jeunesse, à partir de 1985, sans définir cependant les âges auxquels correspond cette période de vie[11],[7]. Ainsi, un jeune de 16 ans peut-il être un enfant, un adolescent et un jeune, car ces périodes se recouvrent en partie[7].


Chez les filles, le début de la puberté (développement mammaire) s'observe généralement entre 8,5 et 13,3 ans[12]. La pilosité pubienne apparait dans les mois qui suivent, suivie par la pilosité axillaire. Les premières règles surviennent en moyenne 2 à 2,5 ans après le début de la puberté, soit vers 12,5 à 13 ans (extrêmes 10 et 15 ans)[12]. 2ff7e9595c


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